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Bill Nelson, haut responsable de la NASA, et Masahito Moriyama, ministre japonais de l’éducation, de la culture, des sports, des sciences et de la technologie, ont signé un accord historique. Selon cet accord, l’agence spatiale japonaise (JAXA) fournira aux Américains un véhicule entièrement fonctionnel pour le développement de la surface lunaire. Il sera utilisé dans le cadre de la mission Artemis VII en 2031. En contrepartie, la NASA a accepté la participation d’astronautes japonais à l’exploration conjointe du satellite de la Terre.

La réalisation technique du projet a été confiée à Toyota. Il s’agira d’un nouveau type de véhicule qui, faute de mieux, a été baptisé « maison lunaire sur roues ». L’idée maîtresse est que les astronautes pourront y séjourner sans combinaison spatiale et non seulement se déplacer sur la Lune, mais aussi vivre et travailler à l’intérieur pendant des périodes de travail pouvant aller jusqu’à 30 jours. La durée de vie du premier véhicule est prévue pour 10 ans, et il est destiné à explorer la partie sud de la Lune.

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Au Japon, la première version du satellite spatial LignoSat, développé conjointement par l’université de Kyoto et Sumitomo Forestry, a été dévoilée. Il se distingue par le matériau de son corps, le bois. Takao Doi, astronaute et professeur à l’université de Kyoto, est convaincu que ces satellites finiront par supplanter complètement les véhicules fabriqués dans d’autres matériaux.

LignoSat a été créé dans le respect de l’environnement. Lorsqu’ils pénètrent dans l’atmosphère, les corps de satellites en aluminium et en plastique brûlent rarement complètement et leurs produits de combustion polluent l’air. Un produit en bois doit brûler complètement, sans laisser de traces, et la suie qui en résulte n’est pas si nocive, car elle est d’origine naturelle – c’est la même chose qui se forme lorsque le bois brûle.

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La société espagnole EOS-X Space promet d’être la première à envoyer des touristes en voyage au bord de la stratosphère à bord d’une montgolfière géante. Des projets similaires ont été annoncés il y a quelques années, mais les Espagnols affirment qu’ils ont presque tout préparé. Des tests de vérification de la capsule de vol devraient avoir lieu prochainement en coopération avec l’Institut national espagnol de technologie aérospatiale.

La capsule EOS-X est fabriquée en fibre de carbone, elle dispose d’un vitrage panoramique, de toilettes et d’un bar à bord. Le vol peut accueillir un pilote et sept passagers, chacun payant 150 à 200 000 euros pour le voyage. Le vol commence à l’aube, l’ascension dure deux heures, la capsule dérive à une altitude de 40 kilomètres, suivie d’une descente en douceur d’une heure.

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Le « protagoniste » de ce scénario fictif est un astéroïde récemment découvert, qui a 72 % de chances d’entrer en collision avec la Terre d’ici 14 ans. Selon les termes de l’exercice, on ne sait presque rien de l’astéroïde, en particulier de sa taille et de sa trajectoire.
Une centaine de spécialistes de la NASA, de la FEMA et de diverses organisations d’autres pays ont participé à l’exercice d’état-major. Ils ont déterminé le moment et les méthodes d’impact possibles sur l’astéroïde en approche (par exemple, des impacteurs cinétiques ou des faisceaux d’ions), tout en conciliant la nécessité d’attendre des informations supplémentaires et l’urgence de lancer une mission spatiale défensive. La coopération mondiale au sein des Nations unies a également été abordée.

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SpaceX a signé un contrat de 843 millions de dollars avec la NASA pour développer un système de destruction de la Station spatiale internationale. Il devrait s’agir d’une sorte de vaisseau spatial, une sorte de « remorqueur » qui poussera l’ISS hors de son orbite actuelle. Il contrôlera la rentrée de la station dans l’atmosphère terrestre afin d’assurer son élimination complète et fiable.

SpaceX doit concevoir et construire le vaisseau spatial – toutes les opérations et la mission elle-même seront gérées par la NASA. La tâche n’est pas aisée, car l’ISS pèse actuellement 419 725 kg et se déplace à 29 000 km/h. En cas d’échec (c’est-à-dire de combustion incomplète – ndlr), l’épave de l’ISS sera détruite. En cas d’échec (c’est-à-dire de combustion incomplète – éd. Techkult), l’épave de la station devrait être coulée dans l’océan Pacifique Sud. Mais comme l’ISS effectue 16 révolutions autour de la planète par jour, il sera extrêmement difficile de la « viser » et de l’envoyer au bon endroit.

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